le 08-02-16
Ici, faire du vélo, c'est comme faire du ski dans les Alpes ou faire du canoe en Ardèche, tout le monde est sur un vélo. Petits, grands, vieux, jeunes, Chiliens, Allemands, Américains, Français, Espagnols, Turques, vélos couchés, VTT, petits chargements ou grosses saccoches... tout le monde est en scelle !
Du coup, on se fait plein d'amis, et on n'est jamais trop seul par ici. Les quelques kilomètres après Cerro Castillo ont donc été lieu de rencontres, d'échanges et d'entre-aide, surtout par temps de pluie. On essaye de passer entre les gouttes, mais parfois, c'est pas si facile dans cette région du monde (Hé, merci Patate pour tes SurChaussures). On ne manque pas d'eau par ici !!
Heureusement, sur les bords de route, malgré le peu de village (1 tous les 100km), on tombe parfois sur une maisonnette où s'abriter ou sur des locaux qui nous ouvrent gentillement leur porte. Comme par exemple Segundo, un véritable Gaucho comme on dit ici, "Homme libre à cheval de la Pampa Sud Americaine". Une mine d'informations, un véritable autochtone plein d'histoires et de légendes à raconter. Malgré la barriere de la langue, la soirée au coin du feu avec Segundo a été pour nous tous, un retour dans le temps et l'Histoire, un moment que seul notre voyage à vélo nous permet de vivre ! Finalement, la pluie a du bon parfois : les rencontres insolites !
Ici, faire du vélo, c'est comme faire du ski dans les Alpes ou faire du canoe en Ardèche, tout le monde est sur un vélo. Petits, grands, vieux, jeunes, Chiliens, Allemands, Américains, Français, Espagnols, Turques, vélos couchés, VTT, petits chargements ou grosses saccoches... tout le monde est en scelle !
Du coup, on se fait plein d'amis, et on n'est jamais trop seul par ici. Les quelques kilomètres après Cerro Castillo ont donc été lieu de rencontres, d'échanges et d'entre-aide, surtout par temps de pluie. On essaye de passer entre les gouttes, mais parfois, c'est pas si facile dans cette région du monde (Hé, merci Patate pour tes SurChaussures). On ne manque pas d'eau par ici !!
Heureusement, sur les bords de route, malgré le peu de village (1 tous les 100km), on tombe parfois sur une maisonnette où s'abriter ou sur des locaux qui nous ouvrent gentillement leur porte. Comme par exemple Segundo, un véritable Gaucho comme on dit ici, "Homme libre à cheval de la Pampa Sud Americaine". Une mine d'informations, un véritable autochtone plein d'histoires et de légendes à raconter. Malgré la barriere de la langue, la soirée au coin du feu avec Segundo a été pour nous tous, un retour dans le temps et l'Histoire, un moment que seul notre voyage à vélo nous permet de vivre ! Finalement, la pluie a du bon parfois : les rencontres insolites !